Voix du pianiste mêlée aux claviers, chants créoles, une surprenante saveur de pop donnent à Phoenix un son exceptionnel

Phœnix, disque-monde, s’est immédiatement imposé comme l'un des disques majeurs de la fusion de son époque, et a confirmé pour de bon le statut à part de Grégory Privat : pas juste un instrumentiste à la personnalité bien affirmée, mais un vrai créateur.

Phoenix ou l'éblouissement qui couve sous la cendre. Épanoui et lumineux.

Privat joue, improvise bien sûr, mais il fait surtout corps avec ses chansons, avec une sincérité et une signature que l’on ne peut pas lui enlever, jazz en clair-obscur, à la fois pop, psyché, urbain, vrai dans ses sentiments, et même fantasmagorique.

L'un des pianistes les plus en vue en France.

Un album enchanteur, un univers poétique, un jazz spirituel et sensuel.

Virtuosité et sensibilité.

Pianiste effervescent et personnalité généreuse, du genre à tisser en musique comme un cocon convivial et chaleureux où chacun se sent bien.

Avec Phœnix, Grégory confirme, s’il en était besoin, l’étendue de son talent et la diversité de son inspiration.

Un pianiste hors pair, du jazz en apesanteur.

Un talent unanimement salué par la critique, une consécration.

Tout l’album de 53 minutes, est passionnant.